Retrouvailles [PV Aoi]

Gémissant en sentant Aoi redevenir complètement dur en lui, Uruha revint enlacer son cou, collant son corps au sien alors qu'il gémissait à nouveau, Aoi recommençant ses mouvements en lui.

"Tu m'as tellement manqué aussi..."

Gémissant plus fort, Uruha se cambra doucement suite aux délicieuses caresses de son frère sur son corps. Ses mains redescendirent dans les reins du plus vieux, griffant délicatement sa peau, gémissant encore son nom, ses yeux se fermant par réflexe.

Aoi accéléra peu à peu ses mouvements en lui tout en gémissant de plaisir.
Il n'y avait pas à dire. Il aimait tellement faire l'amour à cette homme.
Enfin ils pouvaient faire ce que bon lui semblait sans se poser de questions... le brun gémit encore plus en sentant les ongles d'uruha le griffer encore. C'était si bon... ce corps si brulant de désire pour lui... Il aimait tellement ne faire qu'un avec lui...
aoi accéléra encore venant donner un puissant coup de rein en lui; venant par la même occasion cogner la prostate du dominé.
Il en perdrait surement la tête mais qu'importe !

Uruha poussa un grand cri suite au mouvement violent de son amant en lui, ses ongles s'enfonçant profondément dans la peau de son frère. Son nom lui échappa dans un murmure alors qu'il se cambrait encore, son corps brûlant et transpirant venant se coller à celui d'Aoi. Leurs mouvements respectifs étaient toujours aussi coordonnés, deux âmes en parfaite osmose qui s'unissait dans cette ultime étreinte.

"Aoi..." murmura-t-il dans un souffle

Il se sentait partir un peu plus loin à chaque seconde. Comme si Aoi le transportait dans un univers totalement différent.

Les gémissements et cris de Uruha faisait perdre la tête à Aoi.
Leur corps semblaient vraiment être fait pour pour s'accorder a la perfection. Jamais Aoi n'avait connu ça avec personne.
Le brun continuant encore ses mouvements un long moment faisant frotter le plus possible son corps à celui de son frère. Il ferma les yeux en s’enivrant de ce qu'il ressentait au tour de lui.
Il gémit le nom de son amant avant de le crier et de se libérer en lui assez violemment.
Putain....

Chaque seconde était encore meilleure que la précédente. Tout ce plaisir si intense montait à la tête d'Uruha dont les cris et gémissements gagnaient chaque seconde un peu plus d'intensité. Lorsqu'Aoi se libéra finalement en lui, le châtain cria son nom, l'imitant rapidement en griffant son dos au sang, se laissant finalement retomber mollement sur le matelas, complètement essoufflé, les yeux toujours clos, le corps en sueur, encore agité de spasmes de plaisir incontrôlé. Bon dieu... Jamais il n'avait rien connu de meilleur...