Akiya~~~

Caractère : Akiya fait parti de ces gens dont le caractère se démarque de par leur douceur ; un peu comme si ses émotions ne parviennent pas à flirter avec les extrêmes, ou plutôt, il ne les exprime que très peu de manière effusive. Il est du genre à apprécier la simplicité et se contente de peu. De même dans ses relations avec les autres, bien qu'il soit social, il garde volontairement une certaine distance avec ses interlocuteurs avec une fine habilité : tout dans la finesse puisque le jeune homme est de ces gens raffinés qui parlent de manière à ne vexer personne, qui ne se mêlent point des affaires qui ne les concerne pas et se dévoilent tout aussi peu. Oui, Akiya est réservé. Étant artiste, il apprécie tout ce qui touche à l'art et notamment la littérature.

Histoire : Une famille plutôt aisée dont il est l'aîné ainsi qu'une mère débordant d'amour. Il commence tôt à jouer du piano, puis entame l'apprentissage rapidement l'apprentissage de la guitare. Akiya c'était le genre d'enfant que tout parent aurait voulu avoir : avec une large ouverture d'esprit, une grande curiosité mais surtout, une obéissance sans faille et à toute épreuve. Il fallait le comprendre, il faisait toujours tout ce qu'on lui disait et cela avec la plus bonne volonté du monde, parce que vous comprenez, il ne fallait pas décevoir les parents, ne pas faire honte à la famille, et montrer l'exemple à son petit frère. C'était nécessaire d'être un grand frère parfait. Tous les espoirs reposaient sur ses épaules, il ne fallait surtout pas décevoir quiconque. Alors oui sa scolarité fut brillante, il excella dans tout ce qu'il entreprenait aussi. Et puis, il y eut cet accident qui n'en était pas vraiment un. Une voiture qui vint rejoindre un mur lorsque sa fiancée qu'il n'aimait pas autant qu'il aurait du — c'était un mariage arrangé après tout — totalement détruite par la drogue et l'alcool, pris le volant à côté d'un Akiya tout à fais stoïque et sobre. Parce que l'enfant parfait souhaitait voulait plus que tout être quelqu'un d'autre. Et alors qu'il aurait pu empêcher ça, il n'avait rien dis. En se réveillant bien plus tard à l'hôpital, lorsque tous eurent l'occasion de constater que son ouïe s'était en partie faîte la malle dans un ailleurs lointain et inatteignable, il sût qu'il serait soulagé du poids que sa famille déposait sur ses épaules, sans avoir à aller ouvertement contre eux. La liberté lui avait certes apporté un lourd handicap mais ça, il était prêt à le porter. Puisque qu'il était à présent libre de faire ce qu'il voulait sans avoir à prendre en compte les avis des autres vu qu'on le laissait tranquille, parce que vous comprenez, maintenant qu'il était sourd aux trois quarts, reprendre le flambeau de la famille... Dommage c'était un si bon garçon. Alors, au diable l'ancien boulot et bienvenue à sa vie pleine de rêve qui commençait tout juste.